Piet du Congo s’est nourri de bandes dessinées, de musique alternative, d’art populaire et médiéval. Il a mâché et digéré ces saveurs pour les cuisiner à sa sauce dans un esprit mash-up inspiré du breakcore et du collage. Ne goûtant pas le déjà-vu, il mélange et déstructure les codes de l’imagerie populaire, mêlant icônes religieuses, art de propagande, esthétique 8 bit, affiches de cinéma, art brut… Au fil des années, il applique sa recette au dessin, à la peinture, aux installations, au tatouage, à l’organisation de concerts ou au DJing et VJing. Tentant d’éviter le circuit de la grande distribution et de rester fidèle à la tradition DIY, il cherche à partager son goût pour l’expérimentation et alimenter ainsi une contre-culture qui l’a elle-même nourri.
Expositions : Barvaux, Centre culturel, 2004 ; Marche-en-Famenne, Centre d’art contemporain, 2010 ; Bruxelles galerie Much about art, 2013 ; Anvers, Bries Space, 2014 ; Taiwan, Taichung, Naked gallery, 2015 ; Marseille, Le Dernier Cri, 2016 ; Liège, L’Usine, 2016 ; Strasbourg, La Semencerie, 2017…
Publications : Pink is not Dead, Le Dernier Cri, 2016 ; Chairs fraîches, Éditions E², 2016 ; posters, sérigraphies…
(galerie e2)