A l'âge de 1 an, je pose les principes de base de l'actuel internet. Quatre ans plus tard, l'idée d'un réseau social où les gens pourraient virtuellement s'espionner m'apparait. Je viens de créer "Le Livre des Visages". Malheureusement, ma timidité maladive m'interdit d'en parler à cette époque et ce concept sera repris plus tard par un amerloquain !
A l'âge de huit ans, lors d'un séjour à Lourdes en tant que chargé de communication d'un groupe d'estropiés, la Vierge Marie m'apparait et me supplie de redonner à sens à sa vie. Dès lors, je crée en collaboration avec les autorités ecclésiastiques, le Mandarom. Cette fondation à but non lucratif a pour mission de développer les recherches agronomiques en vue d'amèliorer le réseau ferroviaire. Sainte Marie et moi-même organisons des soirées Bingo, des ventes flash de macramé, etc. Notre siège social étant proche d'une carrière de papier mâché, nous nous mettons à créer de gigantesques statues colorées qui feront notre renommée.
Pour une sombre histoire de cachet de la poste faisant foi, je suis excommunié vers l'âge de 21 ans et je pars vivre en Birmanie du sud où je développe le kiwi, fruit riche en vitamines et excellent cirage à chaussure. La peau de kiwi est revendue aux habitants qui s'en font de petits chapeaux.
Mais pour une sombre histoire de cachet de la poste faisant foi, je dois quitter précipitament la Birmanie du sud à l'âge de 37 ans pour rejoindre l'entreprise Crayola pour laquelle j'invente le capuchon à crayon. Six mois plus tard, je reçois un prix à Stockholm des mains de Chantal Goya.